241
Michelet. 197. — «Sembloit… qu'ils cuidassent estre immortels». — Journal du siège d'Orléans. 85. — Procès. III. 214–215.
Journal du siège d'Orléans. 85. — Chronique de la Pucelle. 293. — «Ayez bon coeur, ne vous retirez pas: vous aurez la bastille de bref».
Procès. I. 79; III. 109. — Chronique de la Pucelle. 293. — Michelet. 197. — «Timut, flevit».
Procès. III. 109.
Procès. III. 25. — «En nom de Dieu! vous entrerez bien bref dedans. N'ayez crainte, et n'auront les Anglaise plus de force sur nous». — Journal du siège d'Orléans. 85.
Procès. III. 25.
Procès. I. 216. — Journal du siège d'Orléans. 86. — Chronique de la Pucelle. 293. — «Donnez-vous garde, quand la queue de mon étendard touchera contre le boulevard». — «Jeanne, la queue у touche». — «Tout est votre, et у entrez!».
Journal du siège d'Orléans. 87. — William Glasdal. — Procès. V. 294; III. 110. — «Glassidas! Glassidas! rends-t'-y, rends-t'-y au Roi des Cieux. Tu m'a appelée putain… J'ai grande pitié de ton âme et de celle des tiens».
Chronique de la Pucelle. 294. — Journal du siège d'Orléans. 17. — Procès. V. 294; III. 9, 25, 80, 110. — Michelet. 198. — «Incepit flere fortiter pro anima ipsius et aliorum submersorum».
Perceval de Gagny. 147. — Chronique de la Pucelle. 295.
Journal du siège d'Orléans. 88. — Chronique de la Pucelle. 295. — J. Chartier. I. 78.
Procès. III. 9, 29. — Journal du siège d'Orléans. 89, 209.
Leopold Victor Delisle. Nouveau document relatif à la mission fe Jeanne d'Arc. 1905, ap. Hanotaux. 155.
Procès. III. 99. — «Je durerai un an, guère plus. Qu'on pense à bien besongner pendant cette année».
Journal du siège d'Orléans. 93. — Chronique de la Pucelle. 299. — Procès. III. 12. — «Gentil daufin, n'assemblez pas tant et de si longs conseils, mais venez tout de suite à Reims recevoir votre digne sacre». — «Est-ce votre Conseil qui vous parle de telks choses?». — «Oui, et je suis beaucoup aiguillonee à cet endroit».
Chronique de la Pucelle. 310–312. — Michelet. 202.
Procès. III. 205. — Petit de Julleville. 27–28. («Je ne veux pas tenter Dieu… Je demande des gens d'armes. Ils combattrons; Dieu donnera victoire». — Procès. I. 621, 154. — «Oeuvrez, et Dieu oeuvrera».)
Chronique de la Pucelle. 306. — Bataille de Patay. — Procès. III. 98–99. — «En nom de Dieu, s'ils étaient pendus aux nuées, nous les aurons… Avez-vous de bons éperons?». — «Quoi! fuierons-nous donc?». — «Nenni, ce seront les Anglais qui fueront; mais il vous faudra des éperons pour les poursuivre… Le gentil roi aura aujourd'hui plus grande victoire qu'il eût longtemps. Et m'a dit mon Conseil qu'ils sont tous notres».
Mantellier. 139. — Gruel. 73–74. — Perceval de Gagny. 154. — Chronique de la Pucelle. 306. — J. Chartier. I. 86.
Procès. III. 71. — «Habebat magnam pictatem de tanta occisione». — Michelet. 201. — «Tenendo eum in caput et consolando».
Procés. IV. 342.
Chronique de la Pucelle. 312.
Procès. III. 100. — «Hors des faits de guerre, elle était simple et jeunetle».
Procès. III. 88.
Michelet. 216. — Lagny.
Procès. III. 84. — «En vérité, je ne saurais m'en garder, si Messire ne m'en gardait».
Michelet. 165.
France. I. 389.
Petit de Julleville. 121–122. — «Avant sept ans, les Anglais laisseront un plus grand gage qu'ils n'ont fait à Orléans. Ils perdront tout en France, par une grande victoire que Dieu enverra aux Français. Je le sais, par une revélation qui m'en a été faite; je le sais aussi assurement que je sais que vous êtes en ce moment devant moi».
Froissart. 1. II. Ch. LXXIV. — Flodoart. Hist, ecclesiae Remensis, collect. Guizot. V. 41 et suiv. — Dom Marleot. Hist, de la ville de Reims. II. 48.
Journal du siège d'Orlans. 113. — Chronique de la Pucelle. 321. — Pierre Varin. Archives administratives de la ville de Reims. Paris: Impr. de Crapelet, 1839–1853. II. 569; III. 555.
Chronique de la Pucelle. 322–323. — Journal du siège d'Orleans. 114. — «Gentil Roi, maintenant, est fait le plaisir de Dieu que je levasse le siège d'Orléans et vous amenasse en cette cité de Reims recevoir votre saint sacre, en montrant que vous êtes vrai Roi et celui au quel le royaume de France doit appartenir». — Procès. III. 14–15. — «Je voudrais bien qu'il plut à Dieu que maintenant je me retirasse, laissant là les armes, et que j'allasse servir mes père et mere, en gardant les brebis». — «In custodiendo oves ipsorum, cun sorore et frartibus meis qui multum gauderent videre me».
Petit de Julleville. 70–71.
Michelet. 217. — «Je ne crains rien que la trahison».
Procès. III. 116. — «J'ai pitiè de vous et de la peine que vous endurez». — France. I. 441. — «Et audivit ipsa ex ore regis multa bona de ea… Rex habuit peitatem de ea et de poena quam portabat».
Hanotaux. 211, 216.
Petit de Julleville. 60. — Sire de La Tremoille. — 94. — Regnault de Chartres. — «Elle ne voulait croire personne, mais faisait tout à son plaisir».
France. II. 21.
Hanotaux. 200.
Hanotaux. 200, 203–208, 218.
Procès. V. 139–140.
Hanotaux. 214. — «On ne trouverait point de paix, si ce n'etait par le bout de la lance». — France. II. 9 — 10.
Amiet. 31. — Lettre de Jouvenel des Ursins.
Amiet. 32. — «Jeanne, pertubatrice de la paix, abuseresse du peuple».
Michelet. 217. — «Je vous le dis avec assurance… je suis trahie et bientôt je serai livree à la mort. Priez Dieu pour moi, car je ne pourrai plus servir mon Roi, ni le noble noyaume de France».
Perceval de Gagny. 167. — Procès. I. 148. — Journal d'un bourgeois de Paris. 245. — «Rendez la ville au Roi de France!». — «Rendez-vous, de par Jesus, à nous tot».
Gasquet. 118. — «Que le Roi se montre! Les bons Français qui sont a Paris feront quelque chose cette nuit».
Procès. I. 57, 246. — Perceval de Gagny. I. 26, 168. — «En nom de Dieu! la place eût été prise». — Chronique de la Pucelle. 334. — J. Chartier. I. 109.
Perceval de Gagny. 168–169. — Chronique de la Pucelle. 465. — Vallet de Virville. II. 120.
Procès III 99 — J Chartier. I. 109, 112. — Journal d'un bourgeois de Paris. 246. — Perceval de Gagny. 170.
см. сноску выше.
Procès. III. 217–218. — Saint-Pierre-de-Moustier. — «Je ne suis pas seule: j'ai en ma compagnie cinquante mille de mes gens. Et je ne partirai point d'ici jusqu'a ce que j'aie pris la ville».
Amiet. 33. — «…Qu'il ne craint point les fantômes».
Procès. I. 114, 253. — Aux faussées de Melun. — «Tu seras prise avant… Saint-Jean». — «Quand je serai prise, que je meure tout aussitôt, sans longue épreuve». — «Et les Voix lui répétaient qu'elle serait prise et qu'ainsi fallait-il qu'il fût fait». — «Ne t'ébanis pas et prend tout en grè. Dieu t'aidera». — Gabriel Leroy. Histoire du Melun depuis les temps les plus recules jusqu'à nos jours. Melun: Drosne, 1887. Ch. XVI.
Procès. IV. 458. — Compiègne. Margny. Ouase. Guillaume de Flavy. — A. Lorel. La prise de Jeanne d'Arc. 209. — Perceval de Gagny. 175–176 — «Mettez-vous en peine de regagner la ville ou nous sommes perdus». — «Allez en avant! Its sont à nous!».
Perceval de Gagny. 175. — J. Chartier. I. 122. — Procès. V. 166. — Amiet. 36. — «La pressait de lui bailler sa foi, pour ce qu'il était gentil-homme». — «J'ai juré et j'ai donné ma foi à Autre qu'à vous et Lui en tiendrai mon serment!».
D'Achery. Specilegium. III. 823. — France. II. 174. — «…Que ce très puissant Due n'eût pas peur des Larves vomies par l'enfer».
M. Duff et N. Hope. 191–194. — «Elles (les Voix) ne me dirent pas l'heure a la quelle je serais prise. Souvent je leur demandais de la faire connaitre, mais elles ne répondirent. Si j'avais su… j'y serais allé, quoi qu'il dût advenir».
Procès. I. 13. — Albert Sarrazin. Pierre Cauchon, jude de Jeanne d'Arc. Paris: H. Champion, 1901. P. 26, 58, 108. — Evêque de Beauvais. — Vallet de Virville. Procès de condamnation de Jeanne d'Arc. 10.
Procès. I. 14. — Michelet. 230–231.
Procès. I. 8 — 10. — Chateau de Beaulieu. — Fanon. Hist, des tribunaux de l'inquisition de France. Ch. II. — Henri Denifle et Émile Chatelain. Chartilarium Universitatis parisiensis. Parisis, ex typis fratrum Delalain, 1889. IV. 510. — Perceval de Gagny. Ill.
Marcellin Fornier. Histoire générale des Alpes Maritimes on Cottiènes, et partieulière de leur métropolitaine Ambrun. Paris: H. Champion, 1890–1892. II. 319–320.
Procès. V. 168. — Pastourel de Géraudan.
Procès. I. 109–110; II. 298; III. 121. — E. Gomard. Jeanne d'Arc au château de Beaurevoir. 1865, passim.
Amiet. 99. — «Je fus quatre mois environ à Beaurevoir. J'avais oui dire que ceux de Compiègne tous, jusqu'a l'âge de sept ans, devaient être mis à feu et à sang. Et moi, j'amais mieux a mourir que de vivre après une telle destruction de bonnes gens».
Procès. I. 150–151. — «Dieu vous aidera et pareillement ceux de Compiègne». — «Puisque Dieu aidera ceux de Compiègne, j'y veux etre». — «Sans faute, il faut que vous preniez tout en grè. Et vous ne serez point delivrée tant que vous n'aurez vu le roi des Anglais». — «Vraiment, je ne le voulusse point voir; j'amaisse mieux mourir que d'être mise en la main des Anglais».
Procès. I. 110, 151, 166. — Journal d'un bourgeois de Paris. 268. — Morosini. III. 301–303.
Procès. III. 136–137. — Albert Sarrazin. Jeanne d'Arc et la Normandie au XV-е siècle. Rouen: L. Gy, 1896. Ch. V. — Vallet de Virville. Hist, de Charles VII. Vol. II. 198. — François Valentin Bouquet. Notice historique et archéologique sur le donjon du château de Philippe-Auguste, bâti a Rouen en 1205, aujourd'hui tour Jeanne d'Arc. Rouen: E. Auge, 1877. P. 7 et suiv. — Bouvreuil.
Valerandus Varanius. De gestis Joannae Virginis, Francae egregiae bellatricis; poeme de 1516 remis en lumière, analysé et annoté par E. Prarond. Paris: Picard, 1889. Civ. IV. 100. — France. II. 201–202.
Amiet. 3.
Amiet. 66.
Duff et Hope. 226. — «Nous avons intention de faire un beau proces».