"C'est assavoir que dame convoitise a fait plusieurs estre apostas renoyer la foy catholique, ydolatrer et aourer les ydoles" (Ibid. Fol. 14v).
"Tout subiect et vassal qui par convoitise, barat, sortileges et mal engin machine contre le salut corporel de son roy… pour lui tollir et soubstraire sa tresnoble et treshaulte seignourie peche… et commet si horrible crime… de lese maieste" (Ibid. Fol. 31). "...il у doibt avoir gregneur punicion ordonnée pour obvier aux perilz qui en peuvent advenir pour les reffraindre de la temptacion de l'enemi d'enfer et de convoitise" (Ibid. Fol. 33v). См. также: Ibid. Fol. 49v, 57.
"Non enim in sola immunditia vel gula consistunt opera carnis… ut sunt fornicatio, immunditia, avaritia, impudicitia, luxuria, idolorum servitus, veneficia, inimicitiae, contentiones, emulationes, irae, rixae, dissensiones, hereses, sectae, invidiae, homicidia, ebrietates, commesationes, et similia, quae qui committunt, regnum Dei non possidebunt" (Ioannis Saresberiensis episcopi Carnotensis Policratici. T. 2. P. 210).
"Ad parricidii facinus in fratrem patriarchas excitavit invidia, ut nec impune revelare licuerit gratiam quam Spiritus innocenti monstrabat in sompnis" (Ibid. P. 213). В данном случае Иоанн отсылал к истории Иосифа и его братьев, позавидовавших его снам о будущей власти и пожелавших ее отобрать: Быт. 37: 5–8.
"Le tiers exemple est de st. michiel l'archange qui sans mandement ou commandement quelconques de dieu ne d'aultres mais tant seullement meu d'amour naturele occist lucifer le tyrant et desloyal a dieu son Roy et souverain seigneur pour ce que le dit lucifer machinoit et usurper une partie de lonneur et seigneurie de dieu" (Jean Petit. Op. cit. Fol. 44–44v). Этот сюжет возникал в «Оправдании» дважды, см. также: Ibid. Fol. 22v. Cp.: "Imago quaedam divinitatis est princeps et tirannus est adversariae fortitudinis et Luciferianae pravitatis imago… Imago deitatis, princeps amandus venerandus est et colendus; tirannus, pravitatis imago, plerumque etiam occidendus" (Ioannis Saresberiensis episcopi Carnotensis Policratici. T. 2. P. 345).
См., к примеру, историю некоего «герцога Замбии», полюбившего язычницу-моавитку: "…le quel fu si espris de convoitise de delectacion charnelle de l'amour d'une dame payenne… elle ne se vouloit acorder a faire sa volente si ne adouroit ses ydoles. Il adoura lesdictes ydoles et les fist adourer a plusieurs de ses subiects" (Jean Petit. Op. cit. Fol. 19v). Жан Пти возвращался к этой поучительной истории еще раз: Ibid. Fol. 44.
"Item ledit crimineux duc d'orleans fist faire ung aultre sortilege par le dit moyne d'une verge du boys… lequel sortilege parfait ladicte verge devoit avoir telle vertu par ars et paccion dyabolique que cellui qui la porteroit sur soy feroit la volente de toutes les femmes" (Ibid. Fol. 61–61v).
"Car il est vray que presque toutes les nuis il se enyvroit iouait aux dez et gesoit avec les femmes dissolûtes" (Ibid. Fol. 64 v).
Sansy D. Bestiaire des juifs, bestiaire du diable // Micrologus. Natura, scienze e société medievali. 2000. T. 8. P. 561–579.
"Et avec ce porter sur soy en ung drapel liez ou cousus des ossemens des peulz du lieu deshonneste et de la pouldre d'aucuns des os d'ycellui mort despendu" (Jean Petit. Op. cit. Fol. 49v).
"…la très sage, bonne et vertueuse duchesse sa femme, laquelle comme celle qui prise et honneure le bien de savoir et de science est dilligent corne prudent mere que en lettres et toutes vertus soient ses enfans très bien instruis et appris" (Christine de Pizan. Le Livre du corps de policie / Ed. par A.J. Kennedy. P., 1998. P. 147).
Chronique de la Pucelle ou Chronique de Cousinot, suivie de la Chronique normande de Pierre Cochon relative aux règnes de Charles VI et de Charles VII / Ed. par A. Vallet de Viriville. P. 1859. P. 118–119, 123.
"Et comme souvent il y a de mauvaises langues, on disoit et publioient aucuns quelle l'avoit ensorcelé, par le moyen de son pere le duc de Milan, qui estoit Lombard, et qu'en son pays on usoit de telles choses" (Juvénal des Ursins J. Histoire de Charles VI, roi de France / Ed. par L.-G. Michaud et J.-J.-F. Poujoulat. P., 1836. T. 2. P. 394).
Monstrelet E. de. Op. cit. T. 1. P. 177–242; Chronique normande de Pierre Cochon. P. 224–237.
Geste des ducs Philippe et Jean de Bourgogne // Chroniques relatives à l'histoire de la Belgique / Ed. par J. Kervin de Lettenhove. Bruxelles, 1870–1876. T. 2. P. 259–572; Brandon J. Chronodromon seu cursus temporum // Ibid. T. 1. P. 1–166.
"Mais Dieux y ouvra tant par sa grace divine / Qu'un lion envoia, qui vint de grant ravine, / Avoecques lui mainte bieste courant par le gaudine. / Si vint un arondiel de delà le marine, / Que le lupart tramist, à le rouge poitrine, / Avoecques mainte arondielle mieux volant que chine, / Qui avoient les biecs plus poignans que d'espine, / Dont ils biersèrent fort ces leus de fausse orine; / Et les nobles lions qui sur eux ont cuerine. / Les firent reculer hors de celle saizine" (Geste des ducs Philippe et Jean de Bourgogne. P. 260).
"Qu'il se vot conparer à Dieu qui tout créa, / Et veut estre haus Dieus. Tant s'en avancha / Que sains Michieus l'arcangles son malisse avisa / Sans license de Dieu: ains ne li commanda. / Prist le blason de foy, à son col l'enbiercha, / Lespée de justice en se main empungna, / Pour sien Dieu souverain le
