(PN, 1, 381, курсив мой. —
О. Т.).
«Et fit ladite Pucelle très bonne chère à mon frère et à moy, armée de touttes pièces, sauf la teste, et tenant la lance en main» (Lettre de Gui et André de Laval aux dames de Laval, leurs mère et aieule // Procès de condamnation et de réhabilitation de Jeanne d'Arc. T. 5. P. 107, курсив мой — О. Т.).
«Quia equitabat cum equo, portando lanceam sicut melior armatus fecisset» (PN, 1, 378, курсив мой — О. Т.).
«Et ascendit supra equum armata, tenens lanceam in pugno;… et ivit directe usque ad Sanctum Laudum» (PN, 1, 407).
«Et adonc qu'ilz apperceurent que lesdits ennemis saillirent hors de ladicte bastille pour courir sur leurs gens, incontinent ladicte Pucelle et La Hire, qui tousjours estoient audevant d'eulx pour les garder, couchèrent leurs lances et tous les premiers commencèrent à fraper sur lesdits ennemis» (PN, 1, 481).
«Interrogata quod prediligebat, vel vexillum suum vel ensem. Respondit quod multo, videlicet quadragesies, prediligebat vexillum quam ensem. Dicit etiam quod ipsamet portabat vexillum predictum» (PC, 1, 78). Следует упомянуть также пассаж из «Дневника осады Орлеана», в котором речь шла о штурме Парижа и использовании копья для измерения глубины крепостного рва: «Ouquel eulx estans, elle monta le dous d'asne, duquel elle descendit jusques ou seconde fossé, et y mist sa lance en divers lieux, tastant et assayant quelle parfondeur il y avoit d'eaue et de boue» (Journal du siège d'Orléans. P. 127). Однако то обстоятельство, что девушка, по мнению автора, сидела при этом верхом на осле, ставит под сомнение достоверность информации. О негативных коннотациях образа осла применительно к эпопее Жанны д'Арк см.: Тогоева О. И. Еретичка, ставшая святой. С. 402–415. См. также далее: Глава 7.
«Et portoit dès une moult grosse lance et une grande espée, et faizoit porter apprès elle une noble bannière» (Le doyen de Saint-Thibaud de Metz // Procès de condamnation et de réhabilitation de Jeanne d'Arc. Т. 4. P. 322).
Например, анонимный автор «Хроники францисканцев»: «Car elle faisoit merveille d'armes de son corps et manyoit un bourdon de lance tres puissamment» (Quicherat J. Supplement aux temoignages. P. 73, курсив мой — О. Т.).
«Et orent adont les gens du dauphin aveucques eulx une femme, qui estoit fille à ung homme de Vaucoulour en Lorraine, qui tenoit hotel, et estoit adont ceste fille josne et rade, quy avoit accoustumé de chevauchier et mener en l'ostel de son père les chevaux au gué, à quoy faire, comme pluiseurs femmes sont de légier esperit, elle s'estoit souvent esprouvée à manier le bois, comme de courre et de virer la lance» (Le Livre des trahisons de la France envers la maison de Bourgogne // Chroniques relatives à l'histoire de la Belgique sous la domination des ducs de Bourgogne / Publ. par K. de Lettenhove. Bruxelles, 1873. P. 1–258). В этом тексте чувствовалось сильное влияние «Хроники» Ангеррана де Монстреле, официального историографа герцогов Бургундских. В частности, именно у него автор «Книги» позаимствовал и творчески развил идею о том, что Жанна в юности служила в таверне, где научилась «такому, что не пристало делать юным девушкам»: «Laquelle Jehenne fu grand espace de temps meschine en une hostelerie… Et estoit hardie de chevaulchier chevaulx. et aussy de faire appertises et aultres habiletez que josnes filles n'ont point acoustumé de faire» (La chronique d'Enguerran de Monstrelet. T. 4. P. 314, курсив мой — О. Т.).
«Et sempre se exercito corere in quella parte, et in questa altra insieme cum altre fanciule guardatrice de pecore, et cum una grossa verga come astra, la quale sotto il brazo se poneva stringendola come li cavalieri d'arme le lanze» (Gynevera de le Clare Donne di Joanne Sabadino de li Arienti / A cura di C. Ricci e A. Bacchi della Lega. Bologna, 1888. P. 103, курсив мой — О. Т.).
Williams H. F., Lefèvre S. Martin Le Franc // Dictionnaire des lettres françaises. Le Moyen Age. P. 997–998.
«Tu scez comment estoit aprise / A porter lances et harnois, / Comment par sa grande entreprise / Abatus furent les Anglois» (Martin Le Franc. Le Champion des dames / Publ. par R. Deschaux. P., 1999. T. 4. V. 16825–16828).
«Armes propres habits requierent, / Il n'est si sot qui ne le sache. / Aultres pour estre en ville affierent, / Aultres pour porter lance ou hache» (Ibid. V. 16985–16988).
«L'en m'a dit pour chose certaine / Que comme un page elle servit / En sa jonesse ung capitaine / Ou l'art de porter harnas vit. / Et quant Jonesse le ravit / Et lui volut son sert monstrer, / Conseil eust qu'elle se chevist / A hamas et lance porter» (Martin Le Franc. Le Champion des dames. V. 16873–16880).
См., к примеру, его описание в тексте королевского письма, позволявшего представителям семейства дю Лис (потомкам одного из братьев Жанны) использовать данный герб: «Par un privilége spécial dudit seigneur roy Charles VII, lui fut permis, ensemble à sesdits frères et à leur postérité, de porter le lis, tant en leurs noms qu'en leurs armoiries, qui leur dès lors furent octroyées et blasonnées d'un escu d'azur, à deux fleurs de lis d'or, et une espée d'argent à la garde dorée, la pointe en haut, férue en une couronne d'or» (Permission à la branche cadette de la famille du Lys de reprendre les armoiries de la Pucelle // Procès de condamnation et de réhabilitation de Jeanne d'Arc. T. 5. P. 227). Подробнее о гербе Жанны д'Арк см. далее: Глава 10.